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Ca s'appelle le sans-efforceur. [REQUIEM]

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Louis Blacksad-Griffin
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MessageSujet: Ca s'appelle le sans-efforceur. [REQUIEM] Ca s'appelle le sans-efforceur. [REQUIEM] EmptyMar 21 Jan - 16:42

CA S'APPELLE LE SANS-EFFORCEUR.
REQUIEM S. BLACKSTONE & LOUIS BLACKSAD-GRIFFIN



La nuit était déjà tombée sur Oak Harbor enneigé mais demain était encore loin et si le soleil était couché, il était relativement tôt. Son étui à guitare sur le dos, Louis avait la lourde tâche de rejoindre le bureau du propriétaire du loft d'Amaury, Gabriel et Louis, afin de lui payer le loyer que personne n'avait pensé à régler pour eux, ce qui n'avait rien d'étonnant. Amaury n'ayant pas encore fini sa journée alors que Gabriel venait de commencer la sienne, c'était à Louis qu'on avait donc confié la somme due puisqu'il était le seul sans obligation. C'est ainsi qu'en sortant du Harvey's Pub où Gabriel lui avait remis une enveloppe, il dut faire un détour avant de regagner ses pénates et se dirigea par conséquent vers l'Ouest de la ville. Evilish Publishers était un bâtiment qu'il avait peu eu l'occasion de visiter auparavant. Un lointain souvenir lui rappela une sortie scolaire qui n'avait pas retenu son attention de môme déchaîné, c'était la seule fois où il avait du poser la patte dans cet antre du bouquin.
Grand hall plutôt chic, l'immeuble présentait de beaux escaliers vers lesquels il se dirigea.

« Ah mon petit monsieur, prenez plutôt l'ascenseur, je viens de nettoyer et je ne voudrais pas que vous vous brisiez la nuque en grimpant les marches ! »

Autant dire : je viens de nettoyer le sol, ce n'est pas pour que vous le dégueulassiez avec vos grosses chaussures pleines de boue, dégagez de là où je vous le fais nettoyer en le léchant jusqu'à ce que ça brille plus que mon crâne dégarni.

« Sans problème, mon brave ! Bonne soirée ! »

Enfin, sans problème, c'était relatif. Certains adoraient les ascenseurs, cette impression qu'on a de ne pas bouger d'un pouce alors qu'on décolle de plusieurs mètres en quelques secondes, cette sensation quand l'ascenseur commence à s’élever et que notre cœur fait un petit tour de montagnes russes. Ce n'était pas le cas du charmant Louis qui, sans en être phobique, préférait tout de même éviter ce genre de trajet express. Pas le choix pour aujourd'hui, il appuya sur le bouton d'appel de l'ascenseur et attendit patiemment que son carrosse soit avancé. Une fois à l'intérieur, son doigt trouva le numéro de l'étage désiré mais à peine parti, l'ascenseur se stoppa au premier étage pour laisser entrer un autre homme.

FICHE PAR STILLNOTGINGER.
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Requiem S. Blackstone
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MessageSujet: Re: Ca s'appelle le sans-efforceur. [REQUIEM] Ca s'appelle le sans-efforceur. [REQUIEM] EmptyMar 18 Fév - 22:27


   

   
❝Louis & Requiem

   
   ♡ The most sadistic are treated cats.

   S'il y avait bien une chose que notre chat préféré n'appréciait que très peu, c'était bien d'être convoqué par son éditeur. Lui qui passait ses journées cloîtré dans son appartement, dès qu'il sortait un peu, il se sentait d'un seul coup comme un vampire qui projetait sous un soleil cuisant. Il baissait alors la tête, laissant ses épaisses mèches brunes protéger son crane, et enfilait une paire de lunettes de soleil opaques. Il s'agissait pour lui comme d'une seconde peau, et assumait pleinement son statut d’ermite antisocial. Il fallait dire que la venue d'Adam y était pour beaucoup ; auparavant il se forçait à sort dès qu'il sentait une petite boule creuser son ventre, celle de la solitude., mais depuis qu'Adam était venu s'installer, Requiem se sentait social au fin fond de son lit. Ainsi donc, après deux semaines d'enfermement, il retrouvait enfin la sensation de soleil sur sa peau (et encore il s'agissait d'une simple expression, car en ces temps neigeux, le soleil se gardait bien de se montrer), avant d’entrer dans l'imposant bâtiment de la maison d'édition de la ville.

Ses Rangers claquèrent sur le sol, alors qu'il allait vers l'accueil, s'adressant à une jolie blonde. « Je suis Requiem Blackstone, je viens voir monsieur Johnsson... » Elle hocha la tête, lui adressant un sourire commercial raté de ses grandes dents bien trop blanches pour être naturelles. « Bien sûr, prenez l'ascenseur là, et allez jusqu'au premier étage. Une secrétaire vous guidera là bas. » Il acquiesça, soupirant en se disant que de toute manière il n'avait pas vraiment le choix et que même si il détestait cette endroit, ses revenues en dépendait. Il obéit alors pour une fois, et rejoignit l'ascenseur qu'elle lui désignait du doigt, un téléphone dans l'autre. Il prit donc l'engin, avant qu'on ne l'informe au neuvième étage que la réunion se passait en réalité au sous sol, dans une salle privatisée avec vidéo-projecteur. Il roula les yeux et faillit insulter l’hôtesse, mais trouva la force de se contenir et de reprendre l'ascenseur.

Les portes s'ouvrirent, et Requiem constata la présence d'une autre homme avec lui dans la cabine. Plutôt mignon, la trentaine peut être, ou alors dans peu de temps, l'air libre mais pas tellement rassuré. L'écrivain ne fit aucun commentaire, détaillant cependant sans gêne le bel, homme, venant s'appuyer contre un coin de l'ascenseur, tiquant face à l'envie soudaine de nicotine.

« Etaaaaaa...Bip. » La machine était sensée annoncée le septième étage lorsqu'elle se bloqua en pleine marche, cessant d'un seul coup de bouger. Requiem fronça les sourcils, regardant autour de lui, comprenant alors qu'il était dans une sacrée merde.

   
❝ N'ai pas peur va, je vais pas te manger ! ...Enfin, c'est pas l'envie qui me manque, mais pas dans ce sens là. ❞
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MessageSujet: Re: Ca s'appelle le sans-efforceur. [REQUIEM] Ca s'appelle le sans-efforceur. [REQUIEM] EmptyDim 2 Mar - 14:05

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Un nouveau fauve pénétra dans la cage d'ascenseur et Louis le salua à peine d'un petit sourire crispé. Il gardait le regard fixé sur les numéros qu'affichait l'ascenseur alors qu'une voix plutôt agaçante annonçait ce qu'il lisait. Focalisé sur ses petits chiffres, il en oubliait totalement la présence de l'autre qui avait l'air bien plus serein et qu'il ne voulait pas imaginer se moquer un peu de lui qui resserrait sa prise sur son étui à guitare un peu plus à chaque étape franchie. A chaque étage, c'était un mélange entre le soulagement et une crainte un peu plus prononcée. Soulagement de n'avoir plus que quelques étages avant de sortir de cet engin de malheur, mais crainte d'être de plus en plus haut et donc d'être plus en plus loin de la terre ferme, d'avoir de moins en moins de chance de survivre en cas de chute.

« Un chat retombe toujours sur ses pattes... » a-t-il murmuré en réponse à cette pensée plus pessimiste, sans vraiment savoir pourquoi il parlait soudainement de chat. Il était de toute façon peut probable que même un chat survive dans la chute d'un ascenseur.

Etage 6. Dans sa tête, il faisait le compte à rebours, comme pour une bombe sauf que là, ce sera lui qui explosera de joie à l'arrivée. La voix commença à annoncer le prochain étage...

« Etaaaaaa...Bip. »

… Mais s'arrêta aussitôt. Bug. Bug de l'ascenseur mais aussi bug de Louis qui manqua de s'évanouir en se rendant compte qu'il était en apnée depuis que l'homme était entré dans l'ascenseur et qu'il commençait à manquer d'air. Il prit une grande inspiration alors que, paradoxalement, son visage se décomposait en comprenant le « bip » inopportun de l'ascenseur et l'arrêt soudain entre deux étages.

Il jeta un œil derrière lui sur l'homme qui n'avait pas bougé mais semblait comprendre lui aussi qu'ils avaient un petit problème. Puis il reporta son regard sur les chiffres des étages, comme si le fait de se concentrer sur ceux-ci les feraient progresser à nouveau, il appuya sur plusieurs boutons.
Et si l'ascenseur ne faisait pas que s'arrêter ? S'il tombait aussi et s'écrasait ? Quelle distance y avait-il entre le septième étage et le rez-de-chaussée ? Bien une vingtaine de mètres non ? Ou alors, s'il restait bloqué toute la nuit ? Avec ce mec qu'il ne connaissait ni d'Adam ni d'Eve ?
Louis n'était déjà pas rassuré d'être dans un ascenseur arrêté en plein milieu de sa course alors avec un parfait inconnu qui pouvait tout aussi bien être le genre à trucider ses victimes dans ce genre d'endroit et à disparaître par la trappe en haut, c'était encore pire. Il se retourna pour lui faire face, plus rassuré de l'avoir dans son champ de vision et s'adossa contre le mur à l'exact opposé de l'homme.

« On fait quoi ? »

Son début de panique s'exprima par une nuance aiguë assez désagréable à entendre et il s'éclaircit la gorge, un peu gêné.
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MessageSujet: Re: Ca s'appelle le sans-efforceur. [REQUIEM] Ca s'appelle le sans-efforceur. [REQUIEM] EmptyVen 4 Avr - 23:04


   

   
❝Louis & Requiem

   
   ♡ The most sadistic are treated cats.

Le moins que l'on pouvait dire, c'était que la journée commençait très mal. Rien que le fait de venir dans cet endroit était un mauvais présage pour l'écrivain qui avait dû mettre plus de cinq réveils pour être sûr de se lever. Il supportait énormément de choses ; les cris de la voisine de palier, les crises d'Adam, les miaulements incessants de ses sept chats... Mais ça, cette simple visite qui pouvait paraître bien banale pour certains, il avait beaucoup de mal à l'affronter. Requiem était un véritable hermite, toujours couché dans un coin de son appartement, à remplir ses dix-huit heures de sommeil par jour, ou à écrire dans le noir de sa chambre. Heureusement pour lui, la venue d'Adam avait su le soulager un peu, et imposer des bases à sa vie sans aucun sens, ni but. Désormais on mangeait à des heure fixes, on parlait, on dormait beaucoup moins, et l'on écrivait même parfois avec la fenêtre ouverte -c'était rare, mais c'était déjà arrivé-. C'était dans ses moments là que le brun se disait que le gamin était vraiment taré d'être venu vivre avec lui, et qu'il fallait vraiment l'être pour supporter sa vie totalement décalée par rapport à la société. Mais puisqu'Adam avait insisté, puisqu'il était d'accord, puisque ça le rendait heureux... Alors c'était tant mieux, et ça forçait Requiem a faire des efforts.

Comme par hasard -il n'avait vraiment pas de chance ce matin- l'ascenseur tomba en panne entre deux étages. Il eut beau regarder tout autour de lui, rien n'y fis, la machine ne se remit par en marche. Il inspira, ne ressentant aucun stress, mais plutôt de la frustration, ou de l'énervement. Lui qui voulait en finir très vite... Il allait encore devoirs s'excuser auprès du fameux monsieur Johnsson de son plus ou moins long retard. Encore restait-il à savoir si le service technique déciderait de se magner le cul ce matin ?

Poussant un petit grognement, Requiem appuya sur bouton affichant une petite cloche, présumant qu'il s'agissait de l'alarme. Il soupira, sentant le type -il avait presque oublié qu'Echo et lui n'étaient pas seul, qu'il y avait bien un autre type dans l'ascenseur- s'agiter un peu. « On fait quoi ? » Il demanda, d'une voix assez aigüe. Le brun haussa les épaules.  « Qu'est-ce que vous voulez qu'on fasse ? On attend. » Il lui jeta un regard circulaire, grognant à nouveau en soupirant et se laissant glisser contre l'une des parois de la cabine, se retrouvant assit au sol et appuyé contre le mur. Il tiqua pour la énième fois... Il avait vraiment besoin d'une cigarette.  « J'espère qu'ils ne vont pas mettre trois jours à nous sortir de là... »  Il leva les yeux vers le type, souriant en coin en remarquant la frustration et l'anxiété de celui ci.  « J'ai vu un reportage à télévision, de deux types coincés dans un ascenseur, pareil, le câble qui les soulève a cédé et l'ascenseur s'est écrasé en bas... Ils ont mis trois jours à ramasser les morceaux des deux corps. »  Il avait trouvé comment s'occuper en attendant que les secours arrivent... C'était vraiment un beau connard, mais encore plus lorsqu'il s'ennuyait.
   
❝ N'ai pas peur va, je vais pas te manger ! ...Enfin, c'est pas l'envie qui me manque, mais pas dans ce sens là. ❞
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Je suis vraiment navré du temps de réponse, je sais bien que j'abuse... Mais je te rassure, tu n'es pas la seule à avec laquelle je tarde à répondre. Je suis un peu en retard partout en fait  Ca s'appelle le sans-efforceur. [REQUIEM] 3519818391 Encore désolé, j'espère au moins que ça te plaira, et prend ton temps pour te répondre du coup, je ne pourrais pas t'en vouloir d'avoir mis trop de temps  Ca s'appelle le sans-efforceur. [REQUIEM] 510649966 
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MessageSujet: Re: Ca s'appelle le sans-efforceur. [REQUIEM] Ca s'appelle le sans-efforceur. [REQUIEM] EmptySam 12 Avr - 8:12

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Normalement, ça n'aurait pas du être lui à se retrouver coincé dans cet ascenseur. Ce n'était jamais lui qui emmenait l'argent au propriétaire en temps normal et d'ailleurs, c'était même parfois ce dernier qui venait réclamer son argent chez les garçons. Il détestait avoir la responsabilité de rencontrer le propriétaire parce qu'en général, il se faisait engueuler parce qu'il était toujours la cause du retard du paiement, étant donné qu'il avait parfois des difficultés à réunir sa part à temps. Eliott avait toujours su se faire adorer par le proprio, peut-être parce qu'il était le premier à avoir pris le loft et était irréprochable. Quant à Amaury, tout le monde le trouvait étrange mais tout le monde l'aimait bien, en plus il s'en serait beaucoup mieux sorti avec ce type tout aussi bizarre mais quand même plus louche dans l'ascenseur.
Celui-ci eut un simple mais bon réflexe et appuya sur un bouton avec une petite cloche dessus comme si ça coulait de source – ce qui était un peu le cas – et surtout avec l'air d'être plus lassé que jamais... Alors qu'intérieurement, Louis, dont les émotions semblaient être décuplées par la nervosité, priait tous les Dieux existants, Zeus et Boudha compris. Ce mec semblait totalement relax ou du moins à peine embêté à l'idée d'être coincé dans un ascenseur pour un temps indéterminé, avec un inconnu et avec le risque, sait-on jamais, que l'ascenseur décide de se crasher sept étages en dessous, comme on le voit parfois dans les films d'action qui font la première partie de la soirée le samedi soir.
Juste attendre, c'était tout ce qu'il y avait à faire selon lui. Son absence de réaction commençait à titiller la patience de Louis. Bon, l'autre avait appuyé sur le bouton pour appeler à l'aide. Ca ne devrait pas durer plus de dix minutes non ? Ça ne devait pas être compliqué de faire monter cet ascenseur d'à peine un mètre pour qu'ils puissent sortir.

« J'espère qu'ils ne vont pas mettre trois jours à nous sortir de là... »

S'il essayait de le faire rire, ce n'était vraiment pas drôle. Trois jours ? Mais il n'avait même pas une bouteille d'eau avec lui ou même un truc à grignoter. Trois jours et ce ne serait plus que des cadavres qu'on retrouverait dans l'ascenseur ! L'autre était bien capable de le manger pour survivre en plus. Mais la suite lui coupa net toute idée de manger quelque chose.

« J'ai vu un reportage à télévision, de deux types coincés dans un ascenseur, pareil, le câble qui les soulève a cédé et l'ascenseur s'est écrasé en bas... Ils ont mis trois jours à ramasser les morceaux des deux corps. »

Vraiment ? Pourquoi mentirait-il de toute façon ? Ce n'était donc pas que dans les films que ça arrivait... Toujours debout, il s'appuya contre le mur froid, posant son front dessus pour se rafraîchir alors qu'une sueur froide lui hérissait le poil.

« Je crois que je vais vomir mon petit-déjeuner... »


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