FT. LIAM HEMSWORTH + Dans son ancienne vie, Milan voulait devenir chat de gouttière alors quand il a rencontré Thomas O'Malley, il l'a tout de suite admiré et trouvé fantastique. Aujourd'hui, dans ce nouveau monde, les choses ne sont pas bien différentes. Seul le contexte l'est.
Ici, Louis est loin d'être le père adoptif de Milan mais Milan l'admire assez, même s'il n'est pas un enfant extravagant et garde ce détail pour lui. Louis se retrouve un peu en ce gamin qui est passionné par son art et que ses parents ne comprennent pas vraiment. Ils se sont rencontrés sur le principal lieu de travail de Louis : la rue.

C'était un jour de la semaine, les rues étaient désertes au beau milieu de l'après-midi : tout le monde était au travail ou chez soi alors Louis jouait une chanson qu'il appréciait, pour lui tout seul. Une chanson qui parle d'un père et de son fils. Sa favorite. En général, il ne la chantait pas dans la rue parce qu'il la trouvait un peu personnelle bien qu'il n'en soit pas l'auteur. « Sympa, cette chanson... » Un gamin roux s'est installé à côté de Louis, du côté de son étui à guitare où personne ne s'aventurait normalement. « Tu ne devrais pas être en cours, gamin ? » Le gamin en question a haussé des épaules et a sorti un paquet de cigarettes pour lui en proposer une. Louis, pourtant grand fumeur de son état, a refusé la proposition, tout en continuant l'air de sa chanson à la guitare. « C'est pas bon pour toi, gamin. » Il a allumé sa cigarette sans se préoccuper de son conseil. « On me demande de faire un stage. Je pourrais bosser avec vous. » Il déconnait bien sur pour le stage mais au fond, il se demandait parfois s'il ne serait pas mieux à bosser dans la rue un peu comme Louis mais en faisant des peintures, des caricatures. Après ce jour là, Milan est souvent retourné voir Louis et ils discutent ensemble. Il lui a parlé de sa peinture et montré quelques toiles et Louis, impressionné, lui a assuré que ce serait gâcher son talent que de faire de simples caricatures pour les passants.
Petit à petit, ils se sont rapprochés. D'un côté, Louis permettait à Milan de parler de sa passion avec quelqu'un qui la comprenait, ça a beaucoup apaisé les tensions dans sa famille. D'un autre côté, Milan donne l'occasion à Louis de gagner en maturité : il ne veut pas le voir prendre le même chemin que lui et le pousse à continuer ses études. Milan essaye aussi de faire comprendre à Louis qu'il ne peut pas vivre pour toujours en jouant dans la rue et en payant son loyer en bossant comme serveur, sans d'autres ambitions.

FT. JENNIFER LAWRENCE + et cum superatis difficultatibus arduis ad supercilia venissent fluvii Melanis alti et verticosi, qui pro muro tuetur accolas circumfusus, augente nocte adulta terrorem quievere paulisper lucem opperientes. nocte adulta terrorem quievere paulisper lucem opperientes. arbitrabantur enim nullo inpediente transgressi inopino adcursu adposita quaeque vastare, sed in cassum labores pertulere gravissimos.

FT. AU CHOIX + Avant de se retrouver dans ce monde, Toulouse et Berlioz étaient frères. Comme tous les frères, ils pouvaient parfois se disputer mais ils étaient pourtant très proches.
Aujourd'hui, il n'y a presque plus aucune relation entre le Berlioz de ce monde (Théo pour le scénario) et Milan. Ils se connaissent parce qu'ils prennent tous les deux des cours de piano avec Louisa. Théo est plutôt introverti, assez timide et très différent de Milan qui le considère seulement de loin parce qu'il ne pense pas avoir à partager quelque chose avec lui. Néanmoins, il pense qu'il pourrait être sympathique s'il était moins timide.

FT. AU CHOIX + Quand ils étaient encore des chatons, le caractère parfois peste de Marie hérissait les poils de Toulouse mais sinon, il tenait beaucoup à sa petite soeur. Dans ce nouveau monde, il ne peut que considérer Ann (prénom pour le scénario) que du point de vue non-familial. Il porte un regard beaucoup moins positif sur Ann que sur Théo. Il la connaît de la même façon principalement : les cours de piano avec Louisa. Ann est la meilleure amie de Théo, elle a un caractère bien à elle. Milan la perçoit plus comme une gamine douée, un peu survoltée mais trop gâtée.